mardi 25 octobre 2011

Hassan Sylla Ben Bakary , le ministre le mieux noté du Gouvernement.

Quelque trois après sa formation, le gouvernement de Nadingar II , peine encore à rassurer les tchadiens. Les derniers sondages de A&T ont permis vraiment de noter chacun des membres.
Le premier ministre lui même reste dans la lanterne rouge du fait de ses nombreuses difficultés qu'éprouve son gouvernement, notamment l'année blanche qui plane sur l'université de N'Djaména, la flambées des prix des denrées de premières nécessités mais aussi et surtout la hausse du prix des produits pétroliers de Djarmaya ainsi que la pénurie qu'on dit orchestrée.
On voit clairement, qu'il n'est plus mis en cause dans les voyages comme dans son précédent mandat.
beaucoup de ces ministres restent avec lui comme, celui chargée des relations avec le parlement qui a effectué une très mauvaise sortie.
D'autres comme ceux du pétrole,de la fonction publique et autres départements comme brillent par leurs absences là ou on les attend le plus.


 Une émergence Louable


J.Remy NGonon serait certes entrain de se réjouir car , un des siens , Hassan Sylla issu de Siantou  a fait un bond , mais pas le moindre. Devenu ministre de la communication porte parole du gouvernement ,  a su vraiment réconforter toute une jeunesse , sinon un peuple.
Le Fm 92.5 n'est pas enterrée, pour une fois dans l'histoire du Tchad la radio nationale émet 24/24 avec des émissions aussi riches et variées touchant toutes les couches de la société Tchadiennes. Ce n'est par tout car l'extra ministre est aussi allé lier des partenariats au Niger voisin mais aussi au Cameroun pour la formation des communicateurs Tchadiens.
Il ne cesse de multiplier des belles promesses en promettant une école de communication et d'audio visuel d'ici 2012. Il y a de quoi espérer pour ceux qui compte faire carrière dans ce metier noble.
Il a rendu visite à tous les médias et prendre acte des réalités de leurs travail.
Il est le seul ministre à totaliser  7 points. Nous, nous en félicitons


Est-ce un mea-culpa?


Il y a quelques mois les Tchadiens étaient mécontents de cet même homme qui étaient le directeur de la télévision nationale. On lui reproche de ne faire passé rien et beaucoup plus le président de son parti. Pourtant nous payons les redevances. D'autres detestent même cette télé.
A t-il reculé ?
Dieu seul sait, car les bonnes oeuvres sont faites pour êtres appréciées. C'est dans un humanisme tout à fait plat que nous saluons.

jeudi 20 octobre 2011

Enfin libérée, L'ancien maire de N'Djaména Mbailemdana Marie Thérèse peut éclairer ses compatriotes sur la disparition de ces statuettes


La disparition subite des statuettes récemment fixées autour du rond-point de la grande armée surprend plus d’un tchadien et interroge sur le vivre ensemble ,l’acceptation mutuelle, la tolérance et le respect des différences au Tchad.

Oeuvres authentiques, oeuvres de l’esprit fruit des efforts et du dur travail de création de nos artistes, ces statuettes payées sur fonds du contribuable tchadien ne sont plus visibles depuis quelques jours excepté celle placée au milieu du rond point. Par ailleurs, l’on signale aussi le vandalisme sur les statuettes placées dans ronds points du centre Al mouna et de l’aeroport. Les auteurs de ces actes ne sont pas encore retrouvés mais, on evoque déjà des groupes fondamentalistes tapis dans l’ombre hostiles à ces représentations avançant des raisons suivant lesquelles celles-ci vont à l’encontre de la culture tchadienne.
Il y a t-il une culture tchadienne dont on a pas connaisance et qui interdit une femme tenant sont bébé ou des hommes drappés en peau d’animal tenant couteaux de jet et sagaie ?
Comment est-ce dont le sud dont se sont inspirés ces artistes va t-elle prendre. En tout état de cause madame Mbailemndana  l’ancienne Maire de la ville de N’djaména au moment des faits seule pourra valablement répondre aux tchadiennes et tchadiens.

lundi 17 octobre 2011

Non à un afrocentrisme béat

 L'Afrique va mal, très mal , je ne suis pas le seul à le reconnaître. Et c'est sur le dos  des combats individuels qui permette la prise de l'accenseur social et d'autres égoïsmes. Certains  intellectuels aux ordres des hommes d'Etat tentent à chaque fois que leurs pays se trouvent dans une instabilité socio-économique et culturelle à indexer l'occident. Combien sont - ils , je ne sais plus exactement.Ces africains de Ouagadougou, d'Abidjan,de N'djaména et j'en passe , consacre plus de leur temps à penser que un délestage récurrent dans leurs capitales est du à une décision prise au congrès de l'UMP,à l'Elysée ou encore au congrès Américain.
Koffi Yamgane lors d'un forum à Ouagadougou et répondant évidemment à un journaliste burkinabé sur son rôle dans le parti socialiste français disait en substance :
"Il faut qu'on arrête de penser dans les rues de Ouagadoudou que les décisions qui concernent le Burkina Faso sont prises au parti socialiste ou à l'Elysée."
Le printemps arabe et la crise ivoirienne ont permis des spéculations de tout genre, prostitués intellectuels , fidèles des fidèles des dernières heures, militants convaincus. De ces événements deux choses nous ont marqué.
La première c'est cette forme de prise de conscience enfin. Celle qui conduit le premier ministre de Ben Ali, Mohammed Ghannouchi à pleurer et en  affirmant  urbi et orbi qu'au de temps du président déchu , il avait peur comme tout le monde. Pour une fois les caciques, les faucons et quel autre mauvais noms leur donnés , des partis au pouvoir en Afrique n'ont pas surtout pas cette nuit fermé l'oeil.
La deuxième , c'est le fait que ses événements ont exposé notre ignorance s'agissant notamment des nos institutions.
L'indomtaple Gaston Kelman, s'en prenait de façon virulente au pauvre Venance Konan qui d'ailleurs piégé par les politiques de son pays a fini par prendre partie, oubliant complètement les règles les plus élémentaires du métier qu'il exerce. La suite est connue, il a fini lui par tourner son rêve de toujours en réalité. Celui d'accéder à la tête de Fraternité Matin, quotidien gouvernemental Ivoirien auquel il a fait toute sa carrière.
Comme quoi , nos amis ennemis d'Etat sont encore nombreux et visibles de plus en plus au magreb et au sud du Sahara. Il suffit juste de regarder le feuilleton Abdoulaye Wade pour en découvrir davantage.