mardi 2 juin 2015

Jean Louis Borloo et sa sénilité: voici par où il commence

Alors qu'il a annoncé sa retraite officielle de la vie publique et politique, compte tenu de son état de santé inquiétant. Jean Louis Borloo refait son comeback pour ceux qui le croyait définitivement hors de  la scène publique . Puis les hommages sont venus de partout comme d'habitude féliciter ce bosseur  pur sang  et dont les mérites sont dignes, mais que  naturellement dans son pays est devenu bonne à rien. Il n'attend simplement qu' un rappel des cieux.

La surprise

Comme dans un conte de fée , le maladif Borloo récidive curieusement. Pour ceux qui n'étaient pas informés aux premières heures , tous pensaient qu'il s'agit de reprendre la main dans un pays ou le président est de plus en plus au bas des sondages. Contrairement , le grabataire dévoile , un étrange projet d'électrification de l'Afrique. Hélas! l'Afrique cobaye , ou dépotoir?
Il y a quelques années , nous adressons une lettre officielle à Jacques Chirac frappé d'amnésie et qui souffre de la maladie d'alsalhmeir qui croit aider l'Afrique en luttant contre l'usage des faux médicaments. Ironie de l'histoire , Jean Louis Borloo quelques années plus tard dévoile par pitié un projet d'électrification de l'Afrique.
Un projet saugrenu !
Il est vrai que , toute l'Afrique même en dépit de ses réserves en énergie souffre énormément du problème d'électrification. Une grande partie est dans le noir. Alors , voilà débarque de loin , un toubab comme au temps d'antan de l'occident pour y adresser des remèdes.
Reçu en grande pompe dans les palaces africaines, Jean Louis Borloo n'a aucun respect pour l'humanité. Que cherche t-il? peut être un prix , liée à la philanthropie ou à l'humanitaire comme pour couronner son passage sur terre.

Tchad: Pénurie de carburant, la misère des tchadiens continue

Le Tchad est un pays  exceptionnel, avec des hommes exceptionnels dixit il  un homme politique de ce pays il y a quelques années plutôt. Depuis l'ouverture des vannes de Doba dans le sud du pays , les conditions de populations n'ont guère changé.
Le brut de Koudalwa dans la région du Chari Barguirmi, à quelques encablures de N'djaména  qui alimente la raffinerie de Ndjarmaya située seulement  à 25 km de la capitale ne fonctionne plus.

Il est donc ainsi difficile de croire en ce pays , car rien ne rassure. Ce sont des longues queues interminables, emmaillées des violences qu'ont observe dans les stations service de N'djaména depuis plus d'une semaine. Comme à l'accoutumée le gouvernement fait une sourde d'oreille. Pas d'explications qui peut rassurer les citoyens qui sont nombreux à dépendre de ce liquide indispensable.
Ainsi , le Tchad semble bien être un pays qui se meurt. Tant les crises sont répétitives, tant la situation des populations se dégradent. On se demande bien s'il y a des gens encore à la tête de ce pays? Les Tchadiens eux n'en peuvent plus , car ils ne cessent d'exprimer leur ras le bol au jour le jour.