mardi 5 avril 2016

Quelle opposition au Tchad?

Depuis l’avènement de l'or noir au Tchad beaucoup des voix se sont tuent. Les grandes gueules voudrais-je dire. Surtout du côté de l'opposition politique qui du coup s'est effritée de ses ténors les plus virulents qui sont soient tombés dans le jeu du pouvoir soient pressé par ce dernier en utilisant simplement l'argent nerf de la guerre.
Essayons de comprendre.

Rien quant regardant le profil des candidats au scrutin du 10, on peut d'ores et déjà se faire une idée claire de ses hommes qui réclament de l'opposition pire de l'opposition politique.
Tous ont du moins flirté avec le régime en place qu'il diabolise aujourd'hui. Mais une chose est sûre , c'est qu'ils sont aussi dans leur droit.
Dans un précédant article ou nous dénonçons vivement la Coordination des partis politiques pour la défense de la constitution CPDC une création de l'agent Gilles Désesquelles alors en poste au Tchad qui n'a malheureusement pas eu d'échos auprès de ses fabricants et autres doungourous vivant de ce corpus au mépris du peuple.

lundi 4 avril 2016

Tchad une campagne électorale piteuse

La campagne électorale en vue u scrutin de présidentielle au 10 avril au Tchad ne semble pas être à la hauteur des attentes des électeurs aspirent à obtenir un changement à la tête  du pays. Tant les candidats brillent par un cécité  intellectuelle dont la conséquence est qu'il n'arrive pas à dérouler un programme sérieux qui prend en compte, le social, l'économie, la sécurité etc.
Dépourvus d'une culture politique réelle, la majorité des candidats à ce scrutin  dont se sont rabattus sur des promesses vaines , ressemblant surement à des chimères. Ö telle est la façon de faire de la politique chez nous!
Une campagne qui 'est que la cohorte des injures de tous , tout genre parfois qui tournent aux pugilats et à des scènes de western. Même des alliés se disputent alors on comprend bien pourquoi la politique n'enchante pas les gens dans ce pays.
Du changement dont il est question, et avec les candidat il y a ça sera un changement dans la continuité car tous ses candidats en lice  ont au moins participer à la gestion de ce pouvoir par le régime actuel.
Des nombreux dérapages verbaux observés notamment dans les propos des candidats ou de leurs représentants. Ainsi le premier Albert Pahimi Padacké est celui qui en fait de trop, en qualifiant les populations de la Tandjilé d'affamés. De tels dérapages qui méritent sanction à défaut d'une démission on se le demande bien pourquoi son faiseur de chef du gouvernement ne l'a pas évincé de son fauteuil?
Parlant des pugilats , d'autres zélés et sbires du régime y sont allés de plus belle pour tirer à bout portant dans la région du Kanem.
C'est regrettable!!!
Pour finir et en guise de conseil au candidats nous reprenons Abraham Lincoln " On peut tromper le peuple tout le temps, on peut tromper une partie du peuple tout le temps, maison on ne peut pas tromper tout le peuple tous les temps"